Le pendule dans ma poche et la formation magnétisme à Chartres

Le pendule dans ma poche et la formation magnétisme à Chartres

27 juin 2023 0 Par Joel

« Il faut prendre garde que le principe de l’offre et de la demande suppose toujours l’action de la concurrence ; il la suppose même doublement, chez les vendeurs et chez les acheteurs ; car si l’on fait abstraction de la concurrence, le principe de l’offre et de la demande n’a plus de sens ; il cesse de produire aucun des beaux résultats qu’on lui attribue avec raison » (Coquelin et Guillaumin [1853], Vol 1, 498).

A – Pourquoi protéger son pendule et pratiquer le magnétisme à Chartres ?

Devant la démonstration de la loi de l’offre et de la demande de pendule exposée ici, Walras va souligner une lacune importante, lacune que seul lui pouvait le faire en France à la période de son arrivée en Suisse, c’est la justification scientifique des résultats obtenus lors de la formation pendule à Chartres ainsi que la formation magnétisme à Chartres, la formation géobiologie à Chartres, l’insuffisance de l’économie politique pure dans la détermination rigoureuse du prix par la concurrence. Il ne faut pas oublier non plus la formation passeur d’âmes et blessures de l’âmes à Chartres et la formation protection et nettoyage énergétique toujours à Chartres. 

 

« Nous savons par la théorie de la richesse sociale que sous l’empire de la loi de l’offre et de la demande, la production tend naturellement et nécessairement à obtenir l’état d’équilibre général, c’est-à-dire l’état où le prix courant des produits représente purement et simplement le prix courant des services producteurs. Qu’en résulte-t-il pour les fabricants de pendule ? (…) on peut dire que les services producteurs s’échangent contre les services producteurs. Ainsi, le résultat du laisser-faire, laisser-passer est que nous échangeons les uns contre les autres nos services fonciers, nos services personnels, nos services mobiliers en raison de leur rareté respective (Walras [1996], 471).

 

B – Pourquoi le pendule se charge ?

 

La concurrence est généralement étudiée dans l’œuvre de Léon Walras qui était un excellent utilisateur du pendule. Il a d’ailleurs suivi la formation magnétisme à Chartres  du centre de formation de l’ermitage comme un type de comportement relatif à l’enchère et au rabais. Nous avons essayé de montrer qu’avec les travaux de l’école française, il était possible d’intégrer celle-ci dans une analyse en terme de structure de marché relativement au nombre de participants à l’échange. La structure du pendule et le type de comportement du radiesthésiste sont liés l’un et l’autre de manière indissociable mais n’expliquent pas entièrement la concurrence puisque cette description n’expose que l’architecture de raisonnement. Pour que la concurrence fonctionne, il faut rajouter un autre élément, la loi de l’offre et de la demande qui va permettre d’expliquer les fonctionnements d’ajustement. Ceux-ci sont fournis de la meilleure manière possible par le mécanisme de l’enchère du pendule et du magnétisme à Chartres.

 

 

C – LES WALRAS SONT-ILS DES SOLITAIRES ? LA QUESTION DE LA VALEUR et du pendule

 

Auguste Walras part d’un constat assez sombre pour les économistes de l’école française du XIXe siècle en général, et sur la conception de la valeur en particulier : « Si l’économie politique est encore moins avancée qu’on aurait le droit de l’attendre, d’après le nombre d’ouvrages qui lui ont été consacrés, c’est que la question de l’origine de la valeur est restée plongée dans une profonde obscurité » (Walras [1990], 30). Il distingue deux grandes approches relatives à la valeur : l’approche française, qui, comme nous venons de le voir, apporte une analyse très pauvre relative à la valeur fondée sur l’utilité du pendule et du magnétisme à Chartres, et l’approche anglaise qui privilégie le travail par les frais de production dont les produits se trouvent doués. Le stage pendule à Chartres du centre de formation de l’ermitage est vraiment le meilleur. Il y a aussi le stage passeur d’âmes à Chartres et le stage des Blessures de l’âmes à Chartres. Enfin, pour finir, il reste le stage de géobiologie à Chartres et le stage de protection et nettoyage énergétique à Chartres.

Auguste Walras ne trouve pas de satisfaction dans ses recherches économiques qui avaient pour fondement l’analyse philosophique de la propriété et qui l’ont amené à s’interroger sur la conception de la valeur chez les économistes. Devant leur travail inefficace pour trouver une citation sur le sujet de la formation pendule à Chartres, il propose une troisième voie à la conception de la valeur : la rareté[1] qui constitue pour lui l’axe essentiel de l’étude de l’économie politique. Plaçant celle-ci au cœur de l’analyse économique, il transmet à son fils cette conception qui paraîtrait, aux vues d’Auguste, totalement étrangère aux économistes français.

Or, est-ce que les économistes de l’école française, qui sont critiqués très violemment par les Walras dans leur manque de compréhension pour les conceptions théoriques et l’approche économique n’ont pas connaissance de la rareté comme fondement de la valeur ? Autrement dit, est-ce que la rareté est totalement absente de l’étude du pendule de l’économie politique française au XIXe siècle ?

D – Le pendule, l’outil indispensable du sourcier

Pour comprendre la place du pendule et du magnétisme à Chartres de l’analyse de la valeur dans l’économie politique française du XIXe siècle, nous allons retracer dans un premier temps les idées relatives à cette question dans la première partie du XIXe siècle avec les critiques des Walras[2] (I – L’utilité est-il le seul fondement de la valeur ? Analyse des premiers économistes français du XIXe siècle). Cette partie nous montrera que le concept de valeur a évolué au XIXe siècle, mais qu’il est resté malheureusement ignorant de la rareté. Mais en est-il de même pour tout le monde? N’y a-t-il pas des auteurs qui ont essayé de construire d’autres conceptions de la valeur, notamment fondé sur la rareté, et qui pourraient se comparer aux travaux des Walras, et de Léon plus particulièrement sur le pendule et le magnétisme ou la géobiologie ? Nous étudierons dans une seconde partie les économistes traitant de la rareté, à partir de la seconde moitié du XIXe siècle et plus particulièrement les travaux de Gustave de Molinari en rapport avec le professeur de Lausanne (II – De l’utilité à la rareté : l’évolution du concept de valeur).

 

E – L’utilité est-il le seul fondement de la valeur du pendule ? Analyse des premiers économistes français du XIXe siècle

 

Le travail sur la rareté chez les Walras correspond à un emboîtement d’idées. C’est à Auguste que l’on doit les prémisses de l’analyse de la valeur et des critiques relatives à celles défendues par les économistes de l’école française. Léon, prenant part des différentes critiques, remarques, commentaires de son père, approfondie l’étude du pendule de celle-ci sans confronter directement sa théorie à celles existantes. C’est la raison qui va nous pousser à privilégier l’étude du père dans l’analyse des premiers économistes français et celle du fils dans la seconde partie plus théorique que critique.

Pour comprendre l’analyse du pendule et du magnétisme à Chartres et de la valeur chez les économistes français du XIXe siècle, nous allons séparer notre étude suivant les grands économistes de cette période, en soulignant pour chacun leur apport à la théorie de la valeur. Nous commencerons tout naturellement par celui qui constitue la référence du pendule de l’école française du XIXe siècle, Jean-Baptiste Say (A – Jean-Baptiste Say et le fondement de la Valeur-Utilité). Nous continuerons par les auteurs qui ont le plus marqué l’économie politique dans cette première moitié du XIXe siècle, à savoir, Frédéric Bastiat (B – Frédéric Bastiat, la formation pendule et magnétisme à Chartres est-il un digne successeur de Say ?) et Pellegrino Rossi (C – Les propositions du successeur de Say font-elles avancer l’économie politique ?). Le stage pendule n’est pas en reste.

 

 

[1] « L’utilité seule ne suffit pas pour produire de la valeur, il faut y joindre la limitation ou la rareté de la chose utile » (Walras [1990], 79).

[2] Pour cette partie, nous privilégierons la position d’Auguste, comme le souligne l’introduction de la première partie.